PETITE HISTOIRE DE LA CRÉATION D'UN DISQUE. PART 3.

 

Nous voici d'ores et déjà au troisième acte de cette petite histoire. Je tiens à remercier chaleureusement ceux qui ont pris contact suite à ces chroniques, m'apportant leur chaleur, des partages de vécu, et la plus belle des choses qui soit : l'aveu que ma musique, mes mots, leur apporte quelque chose de précieux.

 

À ce stade, certains cependant doivent s'interroger : Pourquoi ces partages plutôt intimes, personnels ? Voici quelques éclaircissements à ce sujet : L'industrie capitaliste nous a tant habitués au virtuel, aux mythes, à l'apparat… Mon propos artistique est aux antipodes de ces chimères lobotomisantes et créatrices de tant d'idées fausses. Dans cet art authentique, impossible de séparer l'artiste de ses créations. Pour comprendre l'œuvre, il faudra se pencher sur son créateur, comme sur le processus créatif. Aussi, se livrer, partager la sensibilité de ses cordes, est un acte authentique et libérateur qui ne peut qu'apporter à tous les protagonistes (artiste, public, curieux…). Ces quelques précisions étant faites (en espérant ne pas m'être trop étendu en longueur), passons à la suite de cette petite histoire de la création d'un disque, qui, comme vous l'aurez désormais compris, est un peu plus que cela…

 

Dès l'âge de 5 ans, j'avais un avis très tranché sur ce que serait ma vie plus tard : Je serai chanteur ou cascadeur. Le cascadeur se résonna suite à quelques séjours hospitaliers, la musique, elle, restera. Il y avait un micro chez ma mère (je n'étais pas encore déporté en pension), ainsi qu'un bon nombre de disques, principalement de variété. Les invités avaient droit au spectacle lors des visites, et aux premiers compliments de me conforter dans mon choix. Je ne savais pas encore que plus tard, cette passion me guiderait, me sauverait littéralement.

 

En dehors de l'école (qui était le cadet de mes soucis dans ma petite tête emplie de soucis bien plus impérieux), le temps en pension (petit rappel : placé sous tutelle de l'État) était interminable. Il nous était interdit de sortir de l'enceinte du terrain, et il était rare que les "éducateurs" daignent nous organiser une activité ou même nous déposer quelque part. Évidemment, ce cadre ne faisait qu'alimenter les vices de mes "codétenus"… Ainsi, les bagarres, la drogue, les vols étaient au planning, face à l'ennui et à l'ambiance quasi carcérale, de ces lieux qui auraient dû être des lieux de vie, de reconstruction. Mais à l'époque, je portais déjà en moi ces éléments qui me caractérisent toujours aujourd'hui, et dont l'un peut agacer les plus mesquins, se méfiant de ceux sur qui ils ne peuvent avoir d'emprise. Je savais qui j'étais ! Et rien ne pourrait me détourner de cette sorte de "voie sacrée". Ce que les plus faibles esprits appellent entêtement, s'avèrerait être précisément ce qui me sauverait. La drogue, jouer les caïds, très peu pour moi. La musique serait mon échappatoire, quelque peu saupoudrée des beautés de la nature et de la douceur des filles…

 

En dehors de quelques câlins sylvestres et autres lancés de lignes, je m'enfermai des heures, m'imprégnant des mots, des mélodies. Lorsque Michel Berger affirmait chanter pour ceux qui sont loin de chez eux, ces mots étaient écrits pour moi et me transpercaient le cœur. Du bon vieux blues faisait groover mon âme, et je travaillais ma diction shakespearienne sur Les Doors, Elvis, Robben Ford, Luther Allison... En sus de ces séances quotidiennes, je passais la plupart de mes mercredis au sous-sol, qui était équipé d'une sono et d'un micro. J'aurais bientôt la chance d'avoir un éducateur formidable, un bassiste de blues qui viendrait m'accompagner, me conseiller, puis finalement m'apprendre mes premiers accords de guitare. Un puriste au grand cœur, aussi caractériel qu'adorable. Parfois, levé à l'aube, je pouvais l'entendre réviser ses lignes sur sa basse acoustique. Une bouffée d'air à travers les flammes… À suivre…

 

Pour écouter ou réécouter mon premier opus de 2018 : https://ffm.bio/dewismira

#création, #artiste, #musique, #album, #dewismira, #petitehistoire

PETITE HISTOIRE DE LA CRÉATION D'UN DISQUE. PART 2.

Un premier opus:

En 2018, sortait mon premier disque "It's never too late". Cet album retrace un cheminement, une évolution. Il fut écrit et composé sur une longue période (une dizaine d'années), sans que le but de départ ne soit réellement de sortir un disque. Les années passaient dans cette vie que l'on m'avait forcé à subir, et lorsque j'en trouvais la force et le temps, entre deux coups durs, j'écrivais. Au fil des ans, la vie allait donc laisser cette première empreinte: It's never too late.

Il n'est jamais trop tard, comme une prière, un espoir, à moi-même, au reste du monde. Certains se demandent sans doute à ce stade: De quoi peut-il bien s'agir lorsque j'évoque ces années difficiles, cette vie subie… En voici un bref résumé (qui sait si le détail sortira un jour sous une forme ou une autre…).

Disons que mon enfance fut relativement désastreuse, comme une bonne partie de la suite d’ailleurs... Pour commencer, je n'étais tout simplement pas voulu, et mes parents étaient tout simplement trop jeunes et cons (19 ans). Une jeune femme était trop amoureuse, et n'a eu d'autre idée que de me concevoir en espérant placer son prince charmant en position de ne plus avoir d'autre choix que de rester ad vitam æternam. Pari raté ! Le charmant resterait peu, puis s'en irait. La demoiselle partirait en dépression, et l'enfant se débrouillerait plus ou moins seul avant d'être exilé en pension (sous tutelle de l'état).

Me voici, petit gars de la campagne féru d'aventures et plein de rêves, enfermé auprès de ces nouveaux voisins tout droit venus des quartiers, entre autres... Subissant l'abandon, mais aussi des règles et des attitudes qui semblaient vouloir me punir, coupable a priori d'être venu au monde. Les années passaient, et pour une raison ou une autre, je finissais chez mon géniteur à l'âge de 15 ans, où je resterai 2 années avant de prendre mon envol définitif. Deux années catastrophiques, puisqu'elles m'auront forcé à abandonner mon rêve de toujours, ma seule voie: La musique... À suivre…

 

Pour écouter ou réécouter mon premier opus de 2018: https://ffm.bio/dewismira

Pour vous inscrire à ma newsletter (pas de spam), il suffit de renseigner votre adresse email ici:
https://dewismira.webador.fr/contact

#création, #artiste, #musique, #album, #dewismira

PETITE HISTOIRE DE LA CRÉATION D'UN DISQUE. PART 1
Bonjour à toutes et tous. L'idée m'est venue de vous conter l'histoire de la création de ce prochain disque, dont le processus aura été particulièrement long, complexe et merveilleux à la fois, plus en détail. Cette histoire se présentera sous la forme de chroniques en plusieurs actes. J'espère qu'elles vous plairont et qu'elles vous aideront à patienter en attendant la sortie du précieux. D'ici là, je vous souhaite le meilleur.
Dewis
Il y a environ 6 ans, quelque temps avant la catastrophe planétaire de la COVID-19. Les premiers mots du disque à venir (mon second opus) germaient. J'enchaînais alors les petits concerts à un rythme effréné, tout aussi plaisant et formateur, qu'épuisant et chronophage. Certes, je vivais désormais de ma passion, après avoir été poussé à vivre une vie qui n'était pas la mienne durant de trop longues années, mais je suis un homme de sens, qui sait où il doit aller. Jouer des reprises dans les bistrots, restaurants, campings, places de villages n'était que temporaire. Et pourquoi pas du temporaire qui se reproduirait lorsque l'envie m'en reviendra, mais certainement pas un but en soi. Je suis un créateur, un artiste avant tout. Les mots, les mélodies, les sujets, les idées fusent dans ma tête et doivent prendre forme, sous peine d'implosion et d'un sentiment d'incomplétude. C'est la pierre que je dois apporter à l'édifice d'un monde malade, comme tout artiste le devrait… À suivre…
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#création, #artiste, #musique, #album, #chroniques

Une pensée pour Françoise Hardy & pour ses proches.

Un extrait de ce message personnel qui accompagnait mes trajets, parfois longs...

En train, en autobus.. Je n'étais encore qu'un enfant, les écouteurs entonnaient quelque chose comme ça :

Au bout du téléphone, il y a votre voix

Et il y a les mots que je ne dirai pas

Tous ces mots qui font peur quand ils ne font pas rire

Qui sont dans trop de films, de chansons et de livres

Je voudrais vous les dire

Et je voudrais les vivre

Je ne le ferai pas

Je veux, je ne peux pas

Je suis seule à crever et je sais où vous êtes

J'arrive, attendez-moi, nous allons nous connaître

Préparez votre temps, pour vous j'ai tout le mien

Je voudrais arriver, je reste, je me déteste

Je n'arriverai pas

Je veux, je ne peux pas

Je devrais vous parler

Je devrais arriver

Ou je devrais dormir

J'ai peur que tu sois sourd

J'ai peur que tu sois lâche

J'ai peur d'être indiscrète

Je ne peux pas vous dire que je t'aime peut-être..

Arthur Rimbaud, Une saison en enfer.

En musique, j'ai (comme d'autres) mes périodes.

En ce moment, je me replonge avec délectation dans l'univers si profond et insolite du grand Nick Cave, entre deux séances de mixage.

La musique m'a sauvé et continue de le faire de bien des façons, et ce n'est pas un hasard si Nick Cave entretient une relation si étroite avec son public (consultations, échanges philosophiques).

Aujourd'hui, je choisis de partager ce sublime titre "Jubilee street" issu de l'album non moins brillant "push the sky away".

Au plaisir.
Dewis
#nickcave, #jubileestreet

Merci Sylvain Tesson, pour ce dernier ouvrage "Avec les fées".
Ce surgissement du merveilleux, qui m'inspire ces petites lignes,
Sur le vif:

Un peu de vent, de beauté, d'esprit.
Le dedans au firmament.
Les embruns, l'océan,
Les terres celtes au couchant.
Le poète au promontoire,
Et nos vies sans leurs liens.
©Dewis Mira

lodiciquarte:
Les promontoires de la Galice, de la Bretagne, de la Cornouailles, du pays de Galles, de l’île de Man, de l’Irlande et de l’Écosse dessinaient un arc. Par voie de mer j’allais relier les miettes de ce déchiquètement. En équilibre sur cette courbe, on était certain de capter le surgissement du merveilleux.
Puisque la nuit était tombée sur ce monde de machines et de banquiers, je me donnais trois mois pour essayer d’y voir.
Je partais. Avec les fées...
#sylvaintesson, #aveclesfées, #littérature

Je viens de prendre connaissance du fait qu'une tribune contre la nomination de Sylvain Tesson comme parrain du printemps des poètes avait été érigée.
Je n'ai pu empêcher mes lèvres de dessiner un léger rictus, face à l'ineptie de l'époque dont je connais pourtant parfaitement les rouages.

Une tribune certes, mais qui plus est érigée par une certaine partie du milieu littéraire lui-même.
Voici désormais que je me marre, désolé.
Des poètes, éditeurs, critiques, libraires, bibliothécaires, enseignants… Se liguant contre un confrère, dont visiblement les supputations quant au bord politique, seraient plus importantes que son œuvre ! D'ailleurs, l'ont-ils simplement lue et surtout comprise cette œuvre en perpétuelle évolution ? Personnellement, pour la connaître assez bien, non seulement je doute fortement que les allégations perpétrées soient exactes. Mais surtout, je m'en fout littéralement ! Car ceci appartient à sa vie personnelle, et non à son œuvre. De plus, qui pourrait penser, et qu'est-ce qui pourrait prêter à croire, que Sylvain Tesson causerait politique plutôt que littérature et philosophie lors de cette rencontre littéraire ?

Une fois encore, sur fond d'intentions qui veulent paraître salutaires pour l'humanité, la liberté est attaquée !

Tout mon soutien à Sylvain Tesson, à la liberté, au respect de la vie et de la pensée propre.
Dewis
#sylvaintesson, #printempsdespoetes, #Liberté

Je vous souhaite à tous de joyeuses fêtes.

Saisir l'occasion pour oublier les cons.

S'aimer.

Faire des choses simples qui nous font du bien.

Les partager.

Penser à ceux qui sont seuls.

Leur faire savoir.

Prendre le temps.

Lire.

Humer.

Enlacer.

Rêver.

Éteindre le téléphone, au possible.

Se rappeler que, si c'était mieux avant, c'est à nous de changer les choses.

Pierre à pierre. De pensées en actions. Concrètement.

Que vos cœurs se réchauffent dans le cocon que vous saurez créer.

Merveilleuses fêtes à tous!

Dewis

Entre ce que je pense, ce que je veux dire, ce que je crois dire, ce que je dis, ce que vous voulez entendre, ce que vous entendez, ce que vous croyez en comprendre, ce que vous voulez comprendre, et ce que vous comprenez, il y a au moins neuf possibilités de ne pas se comprendre."

Bernard Werber.
#incomprehension, #compréhension, #patience, #Écoute, #sagesse

Quand je mixe mon album, que je termine un recueil de poésie et que j'entame l'écriture d'un tout nouveau bouquin en même temps!
La hâte de vous livrer tout ce travail m'assaille, et l'espérance qu'il en va de même pour vous, m'encourage.
#poésie, #musique, #chroniques, #écrireunlivre, #laviedartiste

L'argent ne parle pas, il jure.
Bob Dylan

C'est souvent la seule chose
Qui vous sépare de l'impossible.
Pas de boisson,
Pas d'amour de femme,
Pas de richesse ne peut l'égaler.
Rien ne peut vous sauver sauf écrire…
L'écriture est le psychiatre ultime,
le dieu le plus aimable de tous les dieux.
L’écriture traque la mort.
C'est souvent la seule chose
qui vous sépare de l'impossible…
#charlesbukowski

L'humeur du moment à travers ce titre qui est sublime dans cette version.

Quand l'amour nous joue des tours (existe t-il encore, en dehors des liens du sang, dans ce monde en perte de sens?), comme pour tous les instants de la vie qui comptent, la musique est une compagne indéfectible. Il y a toujours une chanson pour nous prendre dans ses bras. Seule à comprendre ce que l'on peut ressentir.
True love waits.
Dewis
#amour, #radiohead, #truelovewaits
https://www.youtube.com/watch?v=02nS2EC35go

Celui-là, il me le fallait!
Avis aux conformistes...
Mon retour très bientôt...
#hélènelheuillet, #livre, #retard, #letemps

Toutes les choses sont occupées à écrire leur histoire. Pas un pied ne foule la neige, ou ne parcourt le sol, qu'il n'imprime, en caractères plus ou moins durables, une carte de sa marche. La terre n'est que memoranda et signatures, et chaque objet est tout couvert d'allusions qui parlent aux intelligents. Dans la nature, cet auto-enregistrement est incessant, et la narration est l'empreinte du sceau.
Ralph Waldo Emerson (1850)
#ralphwaldoemerson

En 2016, lorsque Leonard Cohen apprit que Marianne Ihlen, son amour de jeunesse, était en fin de vie. Il lui a fait parvenir ces quelques mots qui lui ont été lus deux jours avant son grand départ :
« Nous sommes arrivés au point où nous sommes si vieux, nos corps tombent en lambeaux, et je pense que je te rejoindrai bientôt. Sache que je suis si près derrière toi, que si tu tends la main tu peux atteindre la mienne. Et tu sais que j'ai toujours aimé ta beauté et ta sagesse et je n'ai pas besoin d'en dire plus parce que tu sais tout cela. Je veux seulement te souhaiter un très beau voyage. Au revoir ma vieille amie. Mon amour éternel. Rendez-vous au bout du chemin. »

Marianne aurait tendu la main en entendant ces mots…
Léonard la rejoindra à peine trois mois plus tard.

Je trouve ça tellement poignant et tellement en accord avec la personnalité de Léonard Cohen. La beauté dans l'obscurité...
Dewis
#Léonardcohen

MERCI À TOUS ! ! !

40 ans… De quoi méditer sur le temps

Je peux réellement ressentir sa relativité.

J'ai d'ores et déjà vécu plusieurs vies en une, et j'ai pu observer que le temps ne s'écoulait pas du tout de la même manière en fonction de tout un tas de facteurs.

Ce serait donc aller quelque peu vite en besogne que de simplement affirmer que « le temps passe vite ».

Le temps, ou en tout cas "notre" temps, s'écoule en quelques instants certes…

Dans le même temps, je peux affirmer avoir sacrément senti passer ces quarante années écoulées.

Il y a la partie scientifique. Nous connaissons (ou devrions connaître) la relativité prouvée par Albert Einstein. Qui nous démontre que le temps est relatif en ce sens qu'il est mesuré différemment par des observateurs en mouvement les uns par rapport aux autres. Ou se situant dans des régions de l'univers où la concentration de masses est différente. Mais aussi la notion d'espace. L'espace-temps lui-même constitue alors un nouveau cadre géométrique à quatre dimensions, dont les propriétés sont déterminées par la matière.

Mais qu'en est-il du ressenti du temps ? De la perception individuelle de celui-ci en fonction du vécu, de l'environnement, de la génétique et de tant d'autres facteurs.

La relativité du temps en fonction de la perception que nous en avons est bien évidemment bien supérieure à la relativité physique. Et pourtant, nous en entendons si peu parler…

Et aux clichés du « tu es encore jeune, tu n'as pas encore l'âge ou encore ce n'est plus de ton âge » de perdurer ad vitam aeternam…

À l'occasion de mon anniversaire de tout nouveau quarantenaire. Je vous invite à vous poser, dans ce monde où l'on court bien trop souvent, sans réellement avoir pensé au sens réel que tout ceci peut avoir pour nous. Et à réfléchir sur le temps. VOTRE temps. Ce qu'il représente, ce qu'il en reste, ce que vous en avez fait…

Vous seuls avez les réponses à ces questions bien trop souvent mises au rebus…

Encore tous mes remerciements à tous ceux qui ont pensé à moi en ce jour du 17 Octobre, où je suis né en 1983 sans avoir réellement été voulu…

En espérant vous avoir apporté quelque chose avec ce texte.

Si vous voulez profiter de cette occasion pour aller m'écouter un peu, soutenir mon art, partager, vous abonner à l'un ou l'autre de mes médias, c'est ci-dessous :

https://ffm.bio/dewismira

Portez-vous bien et vivez ce temps qui vous est imparti selon vos seules règles.

Amitiés.

Dewis

#anniversaire, #letemps, #alberteinstein, #relativité, #philisophie, #liberté, #40ans

Quelques nouvelles…
Heureusement que je n'avais pas fixé de date précise de sortie d'album, pas vrai ?
Cependant, je sais que ça commence à faire long…
Croyez-moi… Je le sens passer…
Je vous avoue que cette finalisation d'album est une vraie torture !
Je sais que les phases de mixage et mastering étaient censées être terminées…
Mais voilà… L'exigence artistique… C'est quelque chose…
Et puis, au fur et à mesure de l'avancement, le projet a pris une tournure différente de celle imaginée au départ.
L'inspiration est venue et a apporté avec elle son lot d'arrangements (cordes, percussions, guitares, basse, chœurs, flûte…).

Certes somptueux, mais qui ont demandé des centaines d'heures…
Et puis… Les instruments qui devaient être joués par d'autres… Je m'y suis finalement collé !
Idem pour le mixage et le mastering…
Au final, j'aurais tout fait moi-même (sauf les chœurs féminins bien sûr et un peu de flûte traversière) !
Je ne sais pas… Bien sûr… Il y avait le budget…
Mais très honnêtement, j'ai surtout eu l'envie et le besoin d'accoucher…

Tout seul. Vider mon sac. Faire avec mes tripes et mes idées sans aucune intervention extérieure.

Une âme solitaire noctambule face aux mots, aux notes...
Voilà... Vous en savez sans doute un peu plus désormais.
Mais je vous rassure, c'est en bonne voie. Très bonne même…
Cependant, il faudra encore un peu de patience.
J'espère qu'alors, vous lui réserverez l'accueil qu'il mérite.
Je vous dis à très bientôt
Portez-vous bien.
Dewis
#album, #musique, #folkmusic, #chanson, #poésie, #indiemusic

Quelque chose me dit que les caméras sont de sortie...

À suivre...

Merci à James Belaud & J'Mag pour cette très belle interview.

Bonne lecture à tous

Vous pourrez retrouver le J'MAg N°28 dans son intégralité le 27/05 dès 20H sur www.j-mag.fr, avec au menu le plein d'artistes et de culture...

#culture, #musique, #chansonfrancaise, #folk, #pop

Retrouvez-moi dans votre Magazine MOUV'IN du mois de mai. Très bel article, merci à l'équipe pour son soutien.

 

Chers amis.

J'ai une GRANDE NOUVELLE à vous annoncer! Un peu de lumière en ces temps incertains...

Je lance la production de mon SECOND ALBUM STUDIO! Inutile de vous exprimer ma joie, ni la quantité de travail que cela aura représenté que d'écrire et composer ce nouvel opus. Pourtant, il reste encore beaucoup à faire...Les enregistrements (qui viennent de débuter), les arrangements, le mixage, le mastering, les visuels, la publicité, le démarchage et l'organisation de la tournée qui s'en suivra....C'est pourquoi je fais appel à vous...À votre soutien...Comme ce fût le cas pour la création de mon premier album en 2018 pour lequel vous aviez été nombreux à répondre présent. Ce nouveau projet sera...plus organique encore...Axé sur les textes et les mélodies...De la poésie, des textes philosophiques ou encore plus engagés....Un album vrai, sincère, à l'écriture léchée.

Je vous invite à participer à ma campagne de financement participatif ici: https://www.helloasso.com/.../nouvel-album-de-dewis-mira

En effet j'ai besoin de vous pour pouvoir produire cet album de la plus belle des manières...Il n'y a pas de mise minimum, pas de frais prélevés par le site hébergeur et je vous ai concocté de belles contreparties que je vous laisse découvrir sur le lien.

Je vous dit à très vite, car bien sûr je vais partager avec vous, toutes les phases de la production et toute l'actualité qui ira avec...D'avance, mille mercis pour votre soutien.

Amitiés

Dewis

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